Le cimetière des gadgets
Cliquez sur les gadgets pour les ressusciter !
LA LINOTYPE
Cette machine a provoqué une véritable révolution pour l’impression de la presse quotidienne au 19e siècle. Elle permettait de fondre des lignes de texte sur des blocs de métal qui servaient à les imprimer à la chaîne.
Michel Dumais, chef blogueur au Journal de Montréal, raconte à Janic Tremblay ses souvenirs de l'utilisation de cette machine.
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CRÉDITS
LE COLECOVISION
Cette console de jeu vidéo, sortie sur le marché en 1982, était futuriste en son temps, avec sa manette sophistiquée, les premiers effets 3D et même des accessoires.
Janic Tremblay remonte le temps avec son camarade du secondaire Serge Potvin, qui a eu la chance de posséder une telle « machine ».
LE WALKMAN
La mode de la musique portative a commencé il y a 35 ans avec le Walkman de Sony. À l’époque, tous les jeunes voulaient porter ce baladeur à cassette à la taille et profiter de la joie de transporter sa musique avec soi.
Avec l'arrivée des lecteurs de disques portatifs, des lecteurs MP3 et des iPod, le Walkman est devenu désuet, et Sony a mis fin à sa production en 2010.
LE LASERWRITER
Pour la première fois, en 1985, une imprimante laser permettait aux gens de produire de beaux documents chez eux. Le LaserWriter d’Apple, Canon et Adobe était un changement radical par rapport aux imprimantes matricielles.
Janic Tremblay a rencontré Michel Dumais, chef blogueur au Journal de Montréal, qui se rappelle bien le joujou, plutôt sophistiqué pour l'époque.
LE POLAROÏD
Instantané avant l'heure de l'immédiateté, le Polaroïd a connu son apogée dans les années 70 et 80. Si on trouve aujourd’hui des Polaroïd à bas prix, la pellicule coûte environ 35 $ pour 8 impressions.
Janic Tremblay s’est entretenu avec Jean-François Dupuis, photographe, qui persiste à utiliser le Polaroïd pour « le plaisir de voir la photo apparaître ».
LA MONTRE-CALCULATRICE
En 1975, Pulsar sortait une montre qui ne faisait pas que donner l’heure. La montre-calculatrice permettait d’avoir toujours au poignet une calculette, un agenda électronique et un répertoire.
Steeve Ouellet, enseignant, en possède une, achetée en 1988 et qui fonctionne encore! Il en vante les mérites à Janic Tremblay.
LE PREMIER MACINTOSH
Un écran de 9 pouces, une mémoire vive de 128 kilooctets, une souris conçue par Xerox, un poids de 9 kg, le tout premier ordinateur de Macintosh avait tout pour impressionner à sa sortie en 1984. Son prix, aussi : 2500 $ (équivalents à 5000 $ courants).
Janic Tremblay voyage 30 ans en arrière avec Bruno St-Pierre, cofondateur du club Apple dans le Bas-Saint-Laurent.
LE PALMPILOT
C'était un petit appareil personnel qui laissait déjà espérer la création des téléphones intelligents. Sans être connecté à Internet, le PalmPilot pouvait contenir des applications comme des conjugueurs, un calendrier, des programmes de traitement de texte et même des livres électroniques.
Avec une ancienne utilisatrice nostalgique du PalmPilot, Janic Tremblay enterre un autre gadget au cimetière.
LA DICTÉE MAGIQUE
Son apparition dans le film E.T. en a fait un objet-culte. La Dictée magique était une petite machine portative avec une voix robotisée. Ce jouet a aidé toute une génération d’enfants à apprendre l’orthographe.
Janic Tremblay a rencontré Carl Charest, grand nostalgique de ce jouet.
LE COMMODORE 64
C’est un ordinateur que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître. Commercialisé en 1982, le Commodore 64 était reconnu pour ses jeux et un son polyphonique.
Janic Tremblay a rencontré Yves Desfossés, informaticien, qui vendait cet appareil en 1982.
LE TAMAGOTCHI
Nourrir, amuser, endormir un petit animal virtuel. Tel était le principe du petit jouet Tamagotchi, qui a rendu fou des millions d’enfants à la fin des années 1990. Les nostalgiques peuvent aujourd'hui le ressusciter avec une application dans les téléphones intelligents.
Janic Tremblay revient sur ce jouet populaire, avec des extraits d’archives de Radio-Canada.
LES RADIOAMATEURS
C’est un mode de communication sur le déclin, mais qui a toujours ses adeptes : 3 500 radioamateurs sont toujours actifs sur les ondes au Québec.
Réseau social avant l’heure, il peut aujourd’hui s’avérer utile en cas de situations d’urgence.
Janic Tremblay a rencontré Guy Lamoureux, PDG de l’Association provinciale des radioamateurs du Québec.
